CES FAMEUX INFRAROUGES D’OU VIENNENT-ILS ?
L’intégralité du spectre électromagnétique provient de notre système solaire.
Brevet portant sur la régulation de l’émission du rayonnement IRL réduisant laconsommation électrique de nos appareils par 5. Fabrication française, en bois de peuplier, issu de plantations durables et contrôlées du sud-ouest de la France : tous nos fournisseurs ont le label FSC et Carbon Reduction Label. Soucieuse de son impact écologique, tout autant que du bien-être de ses utilisateurs, Vital Tech a décidé de planter des arbres pour compenser. le bois utilisé par la fabrication de ses appareils, et a demandé pour cela à EcoTree de l’accompagner.
1 L’IR-A
Infrarouge ondes courtes (0,76 à 1,5 µm) ou proche se situe entre 3,538 et 1,658°C.
L’infrarouge court est surtout utilisé dans l’industrie pour thermo-souder/former certaines matières.
2 L’IR-B
Infrarouge ondes moyennes (1,5 à 5,6 µm) se situe entre 1,658 et 236°C.
L’infrarouge moyen est aussi utilisé dans l’industrie pour sécher certains vernis et peintures ou cuir des aliments.
Infrarouge ondes longues (5,6 à 1000 µm) ou lointain est inférieure à 236°C. C’est la partie du spectre qui nous intéresse le plus, notamment en ce qui concerne l’interface humaine et le corps humain et c’est ce rayonnement que nous utilisons pour l’infrathérapie®. Les mesures montrent que les êtres humains émettent un rayonnement infrarouge à des longueurs d’onde d’environ 9,3 µm. Il s’agit là, de la référence (indiquant la température centrale humaine) à partir de laquelle le corps entre en résonnance avec l’émission des panneaux du VITAL DOME.
UN PEU D’HISTOIRE
Ce sont les finlandais qui ont popularisé l’utilisation du sauna. Leurs ancêtres les utilisaient lors de leurs cérémonies pour leur bien-être mental, spirituel et physique. Ils y sont restés fidèles lorsqu’ils se sont déplacés entre 5.000 et 3.000 av. J-C du nord-ouest du Tibet à leur nouvel emplacement en Finlande.
Les Indiens d’Amérique, qui utilisaient des huttes aménagées pour se nettoyer et se purifier, reconnaissaient les effets bénéfiques sur la santé du processus de transpiration.
DANS L’ANTIQUITé, DéJà
Parmenides, croyait déjà aux vertus de la fièvre il y a 2500 ans. Il n’était pas le seul à connaître le pouvoir curatif de la fièvre sur les maladies. Hippocrate, parle de l'effet bénéfique de la fièvre sur l'épilepsie et Galien, cite la guérison d'un patient mélancolique après une fièvre. Jusque dans les années 50, date de l’introduction de la pénicilline, on injectait le paludisme aux syphilitiques pour déclencher une fièvre salvatrice.
LES EFFETS
Composante inoffensive du spectre solaire, les infrarouges longs sont plus particulièrement présents lors du lever et du coucher du soleil. Parfaitement biocompatibles, ils ont la particularité de produire l’énergie idéale pour élever uniformément la température interne du corps et stimuler l’organisme afin de dynamiser l’énergie au niveau cellulaire et ainsi favoriser naturellement tous les processus de régénération et de détoxification. Les travaux de la biophysicienne Tiina Karu rapportent que le tout dernier maillon de la chaîne respiratoire mitochondriales, celui de l’enzyme cytochrome c oxydase, absorbe l’énergie lumineuse des photons et la transforment en énergie pour optimiser la fonction cellulaire. Donc à chaque fois que vous vous exposez aux infrarouges c’est comme si vous faisiez le plein d’énergie !
POURQUOI LES INFRAROUGES LONGS ?
Nous avons choisi les infrarouges longs car ils sont inoffensifs pour le corps humain et sont les plus bénéfiques pour la santé. Ce qui n’est pas le cas du rayonnement infrarouge à ondes courtes (IR-A) qui peuvent provoquer des brûlures thermiques si la peau est exposée trop longtemps ou trop près du rayonneur. Ces effets de vieillissement sont connus grâce aux bras des boulangers et aux visages des souffleurs de verre (Cho et al 2009). Les lésions oculaires peuvent survenir sur une longue période, c'est pourquoi des lunettes de protection ou des limites de temps sont recommandées (Voke 1999). Le proche IR est responsable du photovieillissement de la peau (Schroeder et al. 2008), où l'exposition aux IR-A induit des effets biologiques similaires à ceux de la lumière UV (Schroeder et al. 2009)